24 décembre 2009

Hors série spécial Noël 2009 : le JOURNAL D'UMPLO

Le "Journal d'UMPLO" numéro 3 Hors Série spécial Noël vous est apporté par le Père Noël.

Au sommaire :

- la lettre de Marine au Père Noël
- la réponse des directeurs des écoles
- la non réponse des parents d'élèves
- l'annonce d'un 4e opérateur de téléphonie mobile
- et à la demande générale une version de luxe, double face, de "l'attestation d'innocuité", modèle spécial Fêtes à personnaliser.

Et le téléchargement est toujours et encore gratuit : journal UMPLO N°3

24 novembre 2009

Mensonges d'État : l'effroyable bilan de l'amiante

Lu dans le Figaro.fr ce soir : lien

Amiante: un ex-industriel mis en examen

AFP 24/11/2009 | Mise à jour : 18:42 |

Un ancien dirigeant d'Eternit, Joseph Cuvelier, a été mis en examen aujourd'hui pour "homicides et blessures involontaires" dans l'enquête sur le décès d'une vingtaine de salariés du groupe, victimes de l'amiante.

M. Cuvelier, ancien dirigeant du groupe d'amiante-ciment de 1971 à 1994, a été mis en examen par la juge d'instruction Marie-Odile Bertella-Geoffroy.

Il lui est notamment reproché l'absence de mesures de sécurité nécessaires pour protéger les salariés de l'exposition aux fibres d'amiante dans cinq usines du groupe Eternit, ont indiqué ces sources, confirmant une information de France Info.

"Jusque-là, seuls des dirigeants d'établissements avaient été mis en examen. Il s'agit d'un passage très spectaculaire à l'étage supérieur dans les responsabilités du groupe", a estimé Me Jean-Paul Tessonière, avocat de plusieurs victimes de l'amiante qui se sont constituées partie civile. M. Cuvelier "est un dirigeant emblématique d'une époque où les contaminations étaient très importantes", a-t-il précisé.

100.000 morts d'ici à 2025

Cinq usines d'Eternit, aujourd'hui filiale d'Etex, font l'objet d'une instruction judiciaire centralisée au pôle de santé publique de Paris : Vitry-en-Charolais (Saône-et-Loire), Valenciennes-Thiant (Nord), Caronte-Martigues (Bouches-du-Rhône), Albi (Tarn) et Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine).

Pour l'association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva), "pour la première fois c'est un industriel et pas simplement un employeur qui devra rendre des comptes à la justice".

En France, l'amiante est jugée responsable de 10% à 20% des cancers du poumon et devrait être responsable de 100.000 morts d'ici 2025, selon l'Agence santé-environnement (Afsset).
Son caractère cancérigène est connu depuis les années 1950 mais le premier décret réglementant son usage ne date que de 1977 et son interdiction de 1997.

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Commentaire d'UMPLO : comme pour l'amiante nos femmes et hommes politiques nient le danger des antennes-relais. Un jour c'est certain il y aura aussi des mises en examen des SFR, Bouygues et consorts.
Mais les politiques, comme pour l'amiante, Tchernobyl, le sang contaminé, l'hormone de croissance, ..., ne seront pas inquiétés.
C'est maintenant, pendant leur mandat, qu'il faut les harceler sans cesse pour que l'exposition massive des populations soit réduite dans des proportions considérables.
À Villeneuve de la Raho, notre Députée-Maire, sourde comme un pot à nos appels de détresse, préfère visiter la Chine, le Vatican, ...
Gare à ses urnes !

22 novembre 2009

Campagne de mesures à Saint Génis des Fontaines

En cette grisâtre après-midi de dimanche de fin novembre, UMPLO s'est déplacée à Saint Génis des Fontaines.

Nous avions fait la promesse à James Collet, kinésithérapeute, de faire des mesures au voisinage du château d'eau qui jouxte son cabinet.
Rappelons que James est atteint d'une très grave maladie et qu'il s'interroge sur l'implication des rayonnements qu'il a subis de la part des antennes.
Les Villeneuvois se rappellent de l'émotion qu'avait suscitée son témoignage lors de la réunion du 16 mai dernier organisée par UMPLO à la Salle des Fêtes.

James Collet. L'émotion se lie sur les visages du public

On se rappellera aussi de la réponse d'André Aurengo à l'inquiétude du père de James Collet quelques jours plus tard : "Non monsieur, votre fils n'est pas une victime des antennes. La maladie de votre fils n'est qu'une triste coïncidence".

M. Collet face à André Aurengo

Saint-Génis donc.
Nous allons faire des mesures en milieu de dimanche après-midi, donc à une période d'activité très faible sur le réseau de téléphonie mobile. Il faudra considérer les mesures comme des minima et y apporter un coefficient de corrélation que nous estimerons au jugé à 2 fois.
C'est à dire que si l'on mesure 1V/m on pourra sans exagérer extrapoler la mesure à une valeur maximale de 2V/m.

Le château d'eau est vraiment encore plus laid que le nôtre. Mais qu'est ce qu'il est laid !
Ce qui surprend c'est qu'on voit très peu d'antennes. Tout le contraire de celui de Villeneuve.


Ce qu'on ne sait pas encore mais que les riverains vont nous expliquer c'est que les affreuses goulottes verticales que nous croyions en métal sont en réalité en composite et cachent des antennes. Et là nous comprendrons mieux pourquoi les mesures que nous avons réalisées à la porte du cabinet de James Collet sont aussi fortes.


devant l'entrée : un "peu moins" de 0,8V/m


sur le parking, devant le mur, plus de 1V/m

On le voit bien sur les photos : on est juste SOUS le château d'eau, à quelques mètres, et les valeurs mesurées, pourtant en trafic minimal, sont bien au-dessus des 0,6V/m recommandés par les associations.
Nous n'avons pas pu effectuer de relevés à l'intérieur mais notre expérience nous permet d'évaluer des valeurs de champ de l'ordre du V/m au minimum (et en période creuse !), donc 2V/m valeur extrapolée.


Quand UMPLO réalise des mesures avec ce bel appareil jaune fluo cela attire aussitôt les riverains curieux. Et alors nous partons faire des mesures dans les jardins, dans les étages,...
Et là les relevés sont assez faibles pour les plus chanceux (moins de 0,2V/m) et parfois plus délicats chez d'autres (nous avons relevé de 1 à 1,5V/m).
C'est la tragique loterie des riverains d'antennes relais.
À cette loterie tous les opérateurs ont toutes les chances de gagner plein d'argent mais presque tous les riverains ont toutes leurs chances (!) de perdre la santé.

Nous avons ainsi rencontré une dizaine de personnes agacées, voire en colère pour certaines, de devoir subir cette irradiation contre leur volonté (leur maire a dû avoir de sacrés bourdonnements d'oreilles).
Et quand on voit les mesures sur l'afficheur de l'instrument on prend vraiment conscience que les rayonnements sont là. Invisibles mais bien présents.
Et ça cela fait réfléchir. Voir l'invisible, par le biais d'un pourtant tout petit appareil, cela fait vraiment réfléchir.
Certains poussent un soupir de soulagement si les mesures sont "bonnes", c'est à dire inférieures à 0,2 V/m. D'autres vont maintenant vivre en sachant qu'ils sont exposés en permanence à plus de 1 ou 2 V/m.
Cela fait d'autant plus réfléchir que dans la maison mitoyenne "le voisin" est mort du cancer et que sa veuve lutte à son tour contre la terrible maladie ... et que James, le jeune kiné du coin n'a pas trop la forme non plus ...

Alors, si toutes ces souffrances sont vraiment dues aux antennes, et on le saura un jour, il faudra bien que quelqu'un paye. Et les élus irresponsables et/ou vénaux qui ont permis leur installation seront les premiers à payer la note.


il y a quand même plus d'oiseaux que sur le château d'eau de Villeneuve !
Moins de paraboles FH tueuses d'oiseaux ...

c'est pénible cette rumeur tenace des 14 antennes


LA CLAU.net publie aujourd'hui un article annonçant la réunion de Palau del Vidre organisée mercredi prochain par nos amis de la fédération AGORA.

Très bien, excellente démarche.

MAIS : on lit encore dans l'article, comme on l'a déjà lu dans le papier de Brigitte Perucca dans "le Monde" que l'ANFR ne reconnaît QUE 14 antennes à Villeneuve.

C'est quand même un peu fort de café quand on se rappelle que l'ANFR elle-même, nous a envoyé en janvier 2009 un document recensant la totalité des antennes de notre château d'eau : 18 antennes panneau et 7 antennes parabole, soit 25 antennes.
Nous n'avons vu aucun démontage, donc il y a bien 25 antennes.

Le document de 96 pages est consultable ici.

Un grand merci aux rédacteurs de LA CLAU qui relaient sans cesse les informations sur notre combat pour le déplacement des antennes.
Mais, s'il vous plaît, lisez ce document et convenez une fois pour toutes qu'il y a bien 25 antennes.

Remarquons, que même SEULEMENT (!) 14 antennes cela serait déjà bien suffisant pour susciter un mouvement de légitime réprobation.




En preuve supplémentaire : les 5 fichiers reçus de l'ANFR le 6 janvier 2009 que nous avons regroupés en un document unique de 96 pages.

Prenons par exemple le fichier Orange umts 504255.
On lit dans les informations du fichier que son créateur est bien SERRES (Véronique Serres de l'ANFR) et qu'il a été édité suite à une demande par mail d'un mât pour les ondes.


20 novembre 2009

Réunion à Palau del Vidre


Le 25 novembre à 19 h à Palau-del-Vidre, AGORA, fédération de protection de l'environnement, organise une réunion autour des antennes-relais.

La Présidente d'UMPLO, Maryse Battle et Daniel Oberhausen, conseiller scientifique de PRIARTEM, interviendront au cours de la soirée et vous pourrez certainement leur poser toutes vos questions.

Venez nombreux et amenez famille et amis.

l'attestation du Maire, on se l'arrache !

Devant le succès rencontré par l'initiative citoyenne "ATTESTATION D'INNOCUITÉ" d'UMPLO avec la participation de notre bonne maire, nous mettons au téléchargement une version "de luxe" que vous pourrez imprimer EN COULEURS, faire encadrer et qui, pendant de nombreuses années égayera avec classe votre intérieur.

On voit en fond de page une magnifique photo de notre première élue discutant en aparté avec le professeur renommé, André Aurengo, de la non dangerosité des antennes qu'elle a fait installer sur notre château d'eau.

Attention : votre attestation est un objet précieux, aussi ne pas oublier de la faire signer en mairie par votre Maire, faute de quoi elle n'aurait aucune valeur.

19 novembre 2009

le journal d'UMPLO N°2


Tout frais sorti de l'impression le "Journal d'UMPLO" numéro 2 est depuis ce matin distribué dans tous les foyers Villeneuvois.

Au sommaire :

- Et oui, il y a bien 25 antennes
- un peu de technique : la puissance des antennes
- les sites sensibles reconnus de Villeneuve : les écoles et la garderie
- les dernières recommandations de l'AFSSET
- UMPLO dans "Le Monde"
- et, un cadeau offert par UMPLO pour assurer votre avenir santé, "l'attestation d'innocuité", modèle individuel gratuit

Et en plus il est en téléchargement gratuit ici : journal UMPLO N°2

Aurengo, le retour


L'expert préféré de notre bonne maire revient en Roussillon ce vendredi 20 novembre.



Après sa conférence à Villeneuve en mai dernier, un membre d'UMPLO avait demandé à André Aurengo, qui remontait à pied de la salle des Fêtes vers la Mairie, S'IL AVAIT VU DE PRÈS LES ANTENNES DU CHÂTEAU D'EAU.

Et bien NON, le Professeur était venu dire aux Villeneuvois qu'ils ne risquaient rien, mais il n'avait même pas daigné s'informer visuellement.


On lui a alors proposé de faire deux cents mètres de plus et de venir AU MOINS voir de quoi il avait parlé.

Et bien à nouveau NON, le Professeur s'est dit trop fatigué pour faire ces quelques pas.
Mais IL A PROMIS DE REVENIR.

Voyons s'il profitera de sa venue à Perpignan ce vendredi pour faire un saut à Villeneuve et voir enfin les antennes du château d'eau dont il nous a certifié la totale innocuité.

NE RÊVONS PAS TROP !


Jacqueline Irles et son ami André Aurengo


Pour se faire une idée plus réaliste des "qualités" de la sommité on peut consulter cette page sur le site de Next-Up : http://www.next-up.org/France/Academie_de_Medecine.php

Une lecture un peu technique : l'avis d'A. Aurengo sur les retombées du nuage de Tchernobyl en France : http://www.sfen.org/fr/themes/aurengo.pdf

et l'avis des membres de la commission d'évaluation sur le comportement d'A. Aurengo : http://www.acro.eu.org/cp050506.html


À lire aussi l'article suivant :

Nuage de Tchernobyl et bruit des éoliennes : les dérives du Pr Aurengo et de l'Académie de médecine


Pour tout ce qui touche à l'atome, l'Académie de médecine s'en réfère à un de ses plus éminents membres, le Professeur André Aurengo, Chef du service de médecine nucléaire du Groupe Hospitalier Pitié-Salpétrière.


Ce personnage n'a jamais caché son engagement total en faveur de l'atome : il siège au Conseil d'administration d'EDF, et est expert auprès de l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA). Il s'est par ailleurs régulièrement inscrit en faux concernant d'éventuelles victimes du nuage de Tchernobyl en France.


Ainsi, le 31 janvier 2002, l'AFP rapportait les déclarations d'André Aurengo depuis Ajaccio où il s'était déplacé pour mener sa croisade pronucléaire : "Il n'y a pas d'argument scientifique qui conduise à penser que l'augmentation du nombre de ces cancers soit lié à un "effet Tchernobyl", dont les conséquences sont probablement négligeables en France".


Quelques semaines plus tard, le 24 février 2002, la Criirad (*) et le géologue André Paris publient un atlas qui révèle de façon détaillée la contamination du territoire français par le nuage de Tchernobyl, cachée jusque là par les autorités.


En catastrophe, le gouvernement crée, deux jours plus tard, un "Groupe de travail" dans le but évident d'enterrer la vérité et, pour ce faire, il en attribue la présidence à… André Aurengo qui se met aussitôt au non-travail.


Pas de chance pour lui, le 24 avril 2003, l’IRSN (**) publie une carte de la contamination de la France par le nuage de Tchernobyl. Il s’agit d’un véritable évènement pare que, pour la première fois, un service d’Etat publie une carte très proche de celle de la Criirad.



Quelques jours plus tard, le 4 mai 2003, le professeur André Aurengo écrit aux ministres de la Santé et de l’Ecologie pour protester contre l’IRSN ! Il se déclare "consterné que de tels résultats, méthodologiquement aussi contestables et très probablement faux, aient pu être diffusés sans aucune validation scientifique".



Le gardien du temple radioactif montre les dents, quitte à s'en prendre non seulement aux antinucléaires mais aussi aux scientifiques d'Etat de l'IRSN : d'ailleurs, le 5 avril 2006, la fameuse carte 2003 de l'IRSN a définitivement été enterrée par un étrange "Comité scientifique", mis en place à dessein en 2004, et comprenant... le Pr Aurengo !


Mais, non content de soutenir le nucléaire, le Pr Aurengo dénigre aussi les énergies renouvelables, et ce pour des rasions... de santé ! En se déclarant le 23 mars inquiète face à ce que l'on a du mal à qualifier de "péril éolien", l'Académie de médecine a franchi une étape supplémentaire dans sa ridicule croisade en faveur de l'atome.


Déjà, le 2 juillet 2003, l'Académie avait officiellement pris position pour la filière nucléaire "dans la mesure où elle s’avère avoir le plus faible impact sur la santé par kilowatt produit par rapport aux filières utilisant des combustibles fossiles, les biomasses ou l’incinération des déchets ou même les énergies éolienne et photovoltaïque".


Oui, déjà, les éoliennes étaient considérées comme plus dangereuses que les centrales nucléaires !


Ceci dit, il est bien possible que, ivi ou là, des éoliennes aient été installées trop près de certaines habitations. Mais les accusations portées par l'Académie de Médecine ne peuvent que sombrer dans le ridicule dans la mesure où elle ne s'inquiète pas - bien au contraire - des dangers bien réels dus au nucléaire.


Qui plus est, les industriels de l'éolien ont réalisé de substantiels progrès concernant les mécanismes, désormais quasi silencieux.


C'est bien le contraire concernant l'industrie de l'atome qui bafoue allègrement les textes légaux qui sont censés limiter ses rejets (radioactifs et chimiques) dans l'environnement. A tel point qu'un arrêté pris le 31 janvier 2006 a complètement remis en cause les dispositions d'un précédent arrêté (du 31 décembre 1999), lequel imposait une mise en conformité des rejets des centrale au 15 février 2006.


Les (nombreuses et récurrentes) infractions de l'industrie nucléaire ont donc été subitement légalisées, de même que les dangers ainsi générés pour la santé publique. Que fait l'Académie de médecine ? Que fait le Pr Aurengo ? Au moment où ses amis pronucléaires décident d'enfouir les déchets nucléaires, il tente d'enfouir la vérité sur Tchernobyl. C'est sûrement cela la "transparence nucléaire".


(*) Commission de Recherche

et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité

(**) Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire



Pour avoir une idée plus précise voici la carte des dépôts de césium 137 liés à l'explosion de la centrale de Tchernobyl :

18 novembre 2009

Courrier aux Parents d'Élèves

Cliquer sur les pages pour les agrandir.

27 octobre 2009

25 antennes : la preuve !



N'en déplaise à certains il y a bien 25 antennes sur le château d'eau de Villeneuve-de-la-Raho.

Même nos élus, pourtant responsables, n'en savent rien.

À leur décharge c'est vrai que si on lève la tête on ne voit "que" 12 panneaux antennes.

Mais il faut savoir que certains de ces panneaux contiennent en réalité DEUX antennes, une à 900 MHz et l'autre à 1800 MHz (voir les différences des câbles de connexion sur les antennes de la photo).

Il y a en tout 18 antennes GSM et UMTS à 900, 1800 et 2300 MHz (en simplifiant les fréquences) et 7 antennes paraboliques (les "ronds" blancs) à 22/23 GHz.

Or 18+7 = 25. CQFD !


Pour preuve le document reçu de l'ANFR en janvier 2009 en lecture ou téléchargement en cliquant sur le lien suivant.



C'est particulièrement intéressant parce qu'on y voit bien qu'il y a 25 antennes (zones encadrées en rouge) mais aussi parce qu'on y apprend que Villeneuve est un site sensible, en particulier à cause de la proximité de l'école.


Et oui, il y a bien des "sites sensibles" à proximité des antennes : les deux écoles et la garderie !!!

Les enseignants et les parents d'élèves devraient demander des explications aux opérateurs.

Soyez sans crainte, on leur répondra que "sensible ne veut quand même pas dire exposé au danger".


Un tableau rassemblant les caractéristiques des 25 antennes avec leur vraie puissance exprimée en watts W. L'unité dBW (qui se prononce D B Watt) est très trompeuse car c'est une unité non linéaire ce qui est bien pratique pour cacher la réalité des puissances rayonnées.

Pour ceux qui se demanderaient ce que signifie PIRE on dira seulement que c'est l'acronyme pour Puissance Isotrope Rayonnée Équivalente.
On garde les explications pour ceux qui voudraient vraiment en savoir plus sur les parties plus techniques. Envoyez-nous un mail.

Un article salutaire dans "le Petit Journal"

Un Villeneuvois nous a transmis un article découpé dans "le Petit Journal" (sans date, probablement cette semaine).
L'auteur, ABL, ne nous en voudra pas de publier la photo de son article qui est pour UMPLO porteur d'avenir et d'espoir.
On va bien finir par y arriver.



Cette semaine dans la "Semaine du Roussillon"

à lire dans l'hebdomadaire catalan
(volontairement flouté)

À lire dans le numéro 701 de "La Semaine du Roussillon" du 22 au 28 octobre un beau dossier sur le combat des associations des P.O. pour le déplacement des antennes.

Si comme le prétendent les "experts" du type De Seze-Aurengo par exemple, tous les riverains qui "se disent malades" sont victimes de leur fragilité psychologique on est en face d'une sacré troupe de neuneus. Millas, Cabestany, Montesquieu, Villeneuve ... et les autres, ça en fait des cinglés.

Mais, chers élus, ces doux dingues ont encore le droit de voter. Attention au verdict des futures élections.

En tout cas l'article est inquiétant et édifiant ! Un grand BRAVO à "La Semaine".

Quand l'État veut pas, et ben y veut pas !

En mars 2009 UMPLO était reçue par le Sous-Préfet de Perpignan, Gilles Prieto (devenu le 18 juillet 2009 l'un des nombreux Conseillers Techniques auprès du Ministre de l'Intérieur (lien)).

Fonctionnaire affable et charmant, Monsieur Prieto avait écouté avec patience et politesse les demandes d'UMPLO.
À la fin de la réunion nous nous étions quittés (c'est du moins ce que nous avions compris) sur la promesse d'une simulation informatique des émissions d'ondes électromagnétiques des antennes du château d'eau et des mêmes antennes déplacées en des points que nous avions fournis (terrains communaux loin des habitations).
On nous avait aussi parlé d'une prochaine Instance de Concertation sur la radiotéléphonie mobile.


Depuis cette date aucune nouvelle d'une hypothétique simulation.

L'Instance de Concertation s'est semble-t'il réunie peu de temps après. Qui s'est concerté ? Les associations de défense ont-elles été invitées ?

On comprendra que les "hautes fonctions" qui attendaient notre interlocuteur quatre mois plus tard l'ont éloigné des basses préoccupations d'une petite association d'un petit village de la province la moins visible de paris, tout en bas de la France.


Nous avons donc à nouveau contacté les représentants locaux de l'État. Leur réponse (voir la lettre en fin de message) est aussi claire que prévisible :

- sous les antennes vous ne risquez rien (Ah bon ? c'est nouveau ! En effet sous les antennes, DANS le château d'eau on ne risque que de se mouiller, mais dans les maisons SOUS le château d'eau c'est une tout autre problématique !).

- si on éloigne les antennes cela peut être encore pire (Brrrr ! on en frissonne ... c'est fou comme les contre-vérités ont la peau dure.)

Ce qui est nettement moins clair: où en est la simulation ?
On a beau lire la lettre de la Préfecture dans tous les sens on reste dubitatifs. Cette simulation elle est faite ou pas ?


Au moment où l'État somme les opérateurs de justifier leur retard en terme de couverture du territoire (lien) se battre pour faire déplacer des antennes c'est tabou.


Pour le fun, une curiosité : notre dossier est suivi par le Bureau Cadre de Vie, Protection de la Nature !!!
Comme quoi on nous prend vraiment pour des pigeons ...


La lettre du représentant de l'État Français


Et pour finir une petite explication de textes : on a besoin d'antennes !!! Encore et toujours plus. Ne vous inquiétez pas, l'État encaisse les redevances.



20 octobre 2009

UMPLO dans "Le Monde"

Lundi 12 octobre UMPLO recevait la visite (programmée) de Brigitte Perucca, journaliste du Monde, qui a fait l'aller-retour Paris-Perpignan.

Après un tour du village (rencontre avec des riverains du château d'eau) et la découverte des sites possibles de déplacement des antennes, Madame Perucca a été reçue au siège d'UMPLO pendant près de trois heures.

Dans l'après-midi, le maire, Mme Irles l'a reçue dans son bureau de la mairie.

Après un passage au cabinet d'un médecin du village elle s'est rendue aux écoles et a discuté avec des parents et la directrice.


L'article qu'elle a fait paraître le vendredi suivant dans "le Monde" montre bien l'imbroglio villeneuvois :

- des professionnels de la santé ont de réelles inquiétudes, pour ne pas dire des certitudes, et demandent l'application du principe de précaution en déplaçant les antennes,

- de l'autre côté la municipalité, son maire Jacqueline Irles en tête, s'obstine à clamer l'innocuité des antennes, se demande encore si le déplacement n'aggraverait pas les nuisances et "en plus le château d'eau est sous la responsabilité de l'agglo".

BREF, c'est une histoire de fous.



Quelques commentaires d'UMPLO :

- Il y a bien 25 antennes et pas 14.
L'ANFR devrait éviter de dire n'importe quoi (voir en fin de message le tableau de recensement des antennes au 16/01/2009).

- Ce qui est sûr c'est que le déplacement n'aggraverait pas la situation des Villeneuvois mais aggraverait par contre sérieusement le coût des antennes pour les opérateurs.
Ce déplacement il n'en veulent pas ! Quand ils ont réussi à s'implanter sur un château d'eau à cause de l'imprudence (ou l'incompétence ?) des élus il est très difficile de les en déloger.

- Une fois de plus notre incorrigible Jacqueline botte en touche en remettant en avant la soi-disant compétence de l'Agglo. C'est du Kakfa !



l'article paru dans "le Monde" (en basse qualité)



Reportage

À Villeneuve-de-la-Raho, des antennes-relais accusées de propager des "troubles en pagaille"


LE MONDE | 15.10.09 | 16h28 • Mis à jour le 15.10.09 | 16h28

Villeneuve-de-la-Raho (Pyrénées-Orientales) Envoyée spéciale

Au 6 de la rue Faratjal, Gilbert Camps souffre d'insomnies et de fatigue chronique. Sa voisine du 4 a eu un cancer, tandis que son mari se dit "fatigué comme s'il avait 90 ans", lui qui n'en a pas soixante. Point commun : leurs maisons se situent à quelques mètres du château d'eau. Planté en plein cœur de Villeneuve-de-la-Raho (Pyrénées-Orientales), un village de près de 4 000 habitants proche de Perpignan, ce château d'eau est hérissé d'antennes-relais de téléphonie mobile.

Vingt-cinq antennes - quatorze, selon l'Agence nationale des fréquences - devenues la bête noire des habitants, qui leur attribuent une augmentation de leurs problèmes de santé. Yasmine Gatonas, une infirmière libérale qui sillonne le village depuis des années, constate "des accidents vasculaires cérébraux (AVC) en pagaille, des troubles du comportement, des céphalées, de la tension qu'on ne peut plus réguler".

Un des quatre médecins du village, dont le cabinet est situé à proximité du château d'eau et dont la clientèle est constituée de ces mêmes riverains, confirme "formellement", lui aussi, "une augmentation des cancers, des leucémies et tout un tas d'autres plaintes", sans pouvoir assurer qu'elles sont liées à une électro-sensibilité ou à une pathologie des ondes.

Pour tous, la conclusion s'impose : il faut éloigner ces antennes, estime l'association Un mât pour les ondes (Umplo). Un sigle qui n'a rien à voir avec la couleur politique de la députée (UMP) et maire de la commune, Jacqueline Irles, accusée de faire le jeu des trois opérateurs, SFR, Bouygues et Orange, en refusant toute solution d'éloignement des "maudites" antennes.

Du coup, la querelle sanitaire se double d'une querelle de personnes, opposant des administrés dont beaucoup ont "voté pour elle" à une élue qui se demande si "le déplacement (des antennes) n'aggraverait pas le problème". A quoi s'ajoute le fait que le château est sous concession de la communauté d'agglomération. Des difficultés qui font de Villeneuve-de-la-Raho un cas d'école du casse-tête des antennes.

"On ira jusqu'au bout"

Pour la présidente de l'association Umplo, Maryse Batlle, l'inquiétude a commencé en 1998, année de l'installation des premières antennes. En 2002, elle est atteinte d'un cancer. Entre-temps, elle s'est "documentée sur les ondes électromagnétiques". Elle dit prendre conscience que les maladies se multiplient dans le quartier. "Sur un plan, j'ai mis un point jaune pour les cancers, vert pour les Alzheimer et rouge pour les AVC." Aussi, quand, en 2007, on annonce aux habitants que "la rue va être bouchée pour des travaux afin d'installer de nouvelles antennes", son sang - et celui des riverains alertés - ne fait qu'un tour.

L'association est créée en avril 2008, une pétition recueille la signature de 750 personnes, la vitrine de la boulangerie se couvre de tracts. Le 15 décembre, les membres d'Umplo s'allongent sur la chaussée pour empêcher le stationnement d'un camion-nacelle. Depuis, les événements s'enchaînent, aggravant l'incompréhension entre la mairie et Umplo. C'est mesures (des émissions) contre mesures, spécialiste contre spécialiste. La solution, un temps envisagée, de placer les antennes sur des terrains communaux est abandonnée.

"On nous prend pour des doux dingues, mais on ira jusqu'à bout", assure Paulette Palau, un des membres actifs de l'association. Radicalisés, les (anciens ?) électeurs UMP s'emploient à construire un réseau pour leur combat. Le Déplacement des antennes-relais dangereuses tente de fédérer des associations au niveau départemental. Le Comité régional ondes santé est en gestation. Un procès aussi, des riverains ayant décidé d'assigner les trois opérateurs en justice.

Brigitte Perucca

Article paru dans l'édition du 16.10.09







Tableau de la liste des antennes fournie par l'ANFR (Agence Nationale des FRéquences) en janvier 2009.


Nous on compte 25 antennes et pas 14 !



15 octobre 2009

L'AFSSET a rendu son rapport ...


Les experts demandent une réduction de l'exposition aux ondes


NOUVELOBS.COM | 15.10.2009 | 16:40


L'AFSSET a rendu son rapport d'expertise collective sur les radiofréquences. Elle surprend en recommandant de réduire les expositions du public.


sous les antennes à Villeneuve-de-la-Raho


Après deux ans de travail et l'analyse de près de 1000 articles scientifiques et d'une douzaine de rapports internationaux, le groupe d'experts de Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (AFSSET) a rendu ses conclusions et ses recommandations ce jeudi 15 octobre. "Oui, il y a des effets biologiques et épidémiologiques des radiofréquences", a constaté Martin Guespereau, le directeur général de l'Afsset lors de la présentation à la presse. Ce constat tranche quelque peu par rapport aux positions antérieures.


Plus précisément, sur une centaine d'études montrant des effets biologiques, seules neuf ont été considérées comme pertinentes par les experts. Ces articles pointent par exemple l'expression de protéines de stress, des phénomènes d'apoptose (mort cellulaire) ou des modifications du débit sanguin. En revanche, avec la même méthode d'analyse, 69 articles ne montrant pas d'effets ont été retenus.


"La science ne se fait pas au poids", a rappelé Martin Guespereau pour expliquer que ces rares effets justifient la position de l'AFSSET de recommander la réduction de l'exposition du public, qu'elle soit liée au téléphone portable lui-même ou aux antennes. "C'est novateur ! Si on peut baisser l'exposition, on doit le faire", a même précisé son directeur.



Cartographier les points noirs électromagnétiques


Concrètement, l'agence plaide pour que soient privilégiés les appareils peu rayonnants (mesuré par le fameux DAS, débit d'absorption spécifique, qui varie du simple au double selon les modèles). Elle demande aussi que soient cartographiés les points noirs électromagnétiques, c'est-à-dire les lieux où l'exposition est très forte. Son directeur a jugé favorablement aussi la proposition des sénateurs d'interdire les portables dans les écoles et collèges.


L'AFSSET souhaiterait aussi que les dispositifs vendus comme "anti-ondes" soient évalués. En revanche, comme aucune preuve formelle d'un effet sanitaire des ondes n'a été établie, l'AFSSET se refuse à édicter des normes ou des seuils d'exposition. En particulier, le chiffre souvent proposé de 0,6 V/m n'est pas évoqué dans le rapport.


Bien entendu, devant les incertitudes l'agence invite aussi à poursuivre les études scientifiques. Mais elle y met des conditions assez originales également, tenant compte sans doute des critiques antérieures: "collaboration étroite entre physiciens et biologistes", "financement pérenne par une structure indépendante et transparente", "suivi des préoccupations des Français"...



Les électrosensibles


Parmi les autres annonces quelques peu inattendues, l'AFSSET demande des efforts particuliers vis à vis des personnes se déclarant électrohypersensibles, bien qu'«aucune preuve d'une relation de causalité entre l'exposition et l'hypersensibilité n'a pu être apportée». Elle plaide pour une meilleure formation des équipes médicales pour l'accueil de ces personnes, pour le développement d'outils de diagnostic et pour la définition de protocoles d'études rigoureux.


Enfin, l'AFSSET a fait montre d'une audace qui l'a surpris elle même: l'ouverture de l'expertise scientifique à la société civile. Pour la première fois, un membre d'une association a pu assister aux différents travaux (mais n'a pas pris part aux discussions). "C'était une première !", a souligné Martin Guespereau, satisfait de l'innovation. Dans la même veine, deux des treize experts étaient issus des sciences humaines. L'Afsset entend poursuivre cette initiative: "la controverse actuelle (...) nécessite que soient menées de plus amples réflexions sur l'ouverture de l'expertises scientifique à la société ainsi que sur les procédures permettant d'organiser un débat public sur les enjeux scientifiques et techniques". Si cette idée était suivie d'effet, ce serait une petite révolution dans le monde de l'expertise.


David Larousserie

Sciences-et-Avenir.com

15/10/09

10 octobre 2009

Le Sénat interdit le portable aux écoliers et collégiens

Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 07/10/2009 17:05 - mis à jour le 07/10/2009 17:20

Le Sénat a interdit ce mercredi 7 octobre l'usage des téléphones portables dans les écoles maternelles (?), primaires et collèges, dans le cadre du projet de loi sur le Grenelle 2 de l'environnement, par mesure de précaution pour la santé des enfants.

Des utilisateurs de téléphone portable

AFP/Archives/Jean Ayissi

Des utilisateurs de téléphone portable

"Dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges, l'utilisation par un élève d'un téléphone portable est interdite", stipule la mesure votée.

Le Sénat a également relevé à 14 ans le seuil d'interdiction de la publicité pour les portables à destination des enfants que le projet de loi du gouvernement avait fixé à 12 ans.

Il a en outre prévu d'"assurer une plus grande protection des travailleurs amenés à utiliser quotidiennement des téléphones portables".

Outre ces apports spécifiques du Sénat au Grenelle 2, la Haute Assemblée --qui devrait examiner ce texte jusqu'à jeudi avant sa transmission à l'Assemblée nationale-- a adopté les autres dispositions de l'article 72 du texte visant à renforcer l'encadrement en matière d'ondes électromagnétique.

"Inquiétudes grandissantes"

L'équipement des portables en kits mains libres ou oreillette, qui limitent l'exposition du cerveaux aux ondes, sera obligatoire. Les résultats des mesures sur les champs électromagnétiques émis par les équipements de télécommunications électroniques seront rendus publics.

Les distributeurs d'électricité devront réaliser des mesures des champs induits par les lignes à haute et très haute tension dont les résultats devront être transmis annuellement à l'AFSSET qui les rendra publics.

Les élus ont souligné les "inquiétudes grandissantes et les doutes au sein de la population sur les effets des champs électromagnétiques sur la santé".

6 octobre 2009

le DARD, le collectif qui monte !


Des fois on a bien besoin d'une piqûre de rappel. Le DARD s'en chargera.

DARD, c'est le piquant acronyme pour "Déplacement des Antennes-Relais Dangereuses".

Bref, c'est l'association qui monte, ou plutôt le collectif qui en a ...

Et oui, le DARD c'est la mise en commun des efforts de plusieurs associations des P.O. qui se battent pour le déplacement des antennes-relais de téléphonie mobile.
Le nom, c'est vrai, prête un peu à sourire (c'est un peu fait exprès, on l'avoue), mais la volonté et l'enthousiasme sont là.

Les associations isolées ont des pouvoirs trop limités. Quelques volontaires se battent contre des moulins à vent. La majorité des "gens" ne suit pas. Pas concernés, trop occupés à autre chose. "Bravo, c'est bien ce que vous faites. On est avec vous. Continuez". Mais c'est susurré de bien trop loin et pas assez fort. Les "gens" n'y croient pas. "Vous allez vous casser les dents contre plus forts que vous, vous savez. C'est risqué vous savez. On ne se fait pas que des amis vous savez. Les élus ont des pouvoirs vous savez, nous on ne prend pas le risque ...".

Le combat en tout petit comité ça use. Même si l'on sait que l'on défend une cause juste et si l'on se bat pour la santé de tous les autres.
Pour UMPLO cela fait déjà 17 mois que l'on se bat contre une municipalité handicapée des yeux et des oreilles. En tenim una fart ! (traduisons sobrement par "on en a un peu marre de se battre contre des gens légèrement plus obtus que la moyenne.").

Aussi il est temps de se fédérer. États-Unis des associations de défense contre les antennes, ça sonnerait bien.
C'est vrai que DARD c'est moins impressionnant qu'EUADCA. Mais ça fait beaucoup plus d'effet quand on sent un bon coup de DARD (ne riez pas SVP!).

Quelques "ploucs" qui râlent après les antennes cela fait rigoler nos élus à table au moment des blagues et des desserts.
Les mêmes ploucs réunis en un collectif de plusieurs dizaines ou centaines de personnes cela fait moins sourire.
C'est une force électorale qui se voit, qui s'entend, que l'on soupèse avec inquiétude.

Rappelons à qui veut l'entendre que certaine élection récente (dans la quatrième circonscription par exemple) ne s'est gagnée qu'à quelques dizaines de voix près.
Comme dirait Gérard Jacquet "ça calme !" (on l'aime bien nous Gérard).

Le DARD est en phase de gestation. Souhaitons-lui une croissance rapide et forte.

Les "ténors" des associations de La Bastide, Millas et Saint-Cyprien chez UMPLO. Le DARD se monte !